Josep Maria Cañellas s’est beaucoup illustré à travers la photographie de nus dont la teneur érotique n’échappera à personne. Cette catégorie de photographies est, de loin, la plus représentée dans les images qu’on pourra consulter ici.
Si cela devait froisser votre sur-moi, faites acte de contrition et passez votre chemin.
Un bref descriptif de l’application vous est proposé dans cette page de présentation.
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101-422
[sans repro. numérique connue]
Catég. | Portraits |
Desc. | Femme en tenue de cycliste debout à côté d'une bicyclette le pied sur le guidon à la façon d'une danseuse de cancan. |
Thèmes | femmes ; bicyclettes ; décor toile peinte parc ; décor toile peinte lac |
Technique | tirage papier ; albumine ; 10,8 x 16,5 cm Carton support avec l'adresse 65, rue des Abbesses (voir une reproduction du verso dans le catalogue, p. 146). Au recto, présence d'un timbre humide « Collection Georges Sirot / 35, rue Jacob, Paris ». |
Identification
Source | Cat. expo. ME 2005 (№ 101) |
Titre | [Femme à la bicyclette] |
Datation | 1895-1898 |
Propr. | BnF |
Notes GC | ME : erreur de datation. Le catalogue indique 1893-1895 mais il inverse systématiquement les dates de présence de Cañellas à l'atelier du 60, boulevard de Clichy [1893-1895] avec celles de sa présence à l'atelier du 65, rue des Abbesses [1895-1898]. |
Observations
Notes GC | Peut-être la danseuse de cancan des clichés id. 100 et id. 143 aussi nommée « Traviata ». On reconnaît à l'arrière-plan la toile peinte d'un décor lacustre également visible dans la série de la danseuse en tutu (cf. JMC 18). |
Séries apparentées
Modèle : La Traviata
Il semblerait que, dans ces portraits, on ait affaire à la même personne, une artiste de scène, peut-être une danseuse de cancan. Et peut-être se prénommait-elle Violette ?